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Papa pique et maman coud…
Fichtre non ! je ne voulais pas en remettre sur le vaccin. L‘espèce d’apartheid dont on voudrait accabler les antis-passe sanitaire en France et que certains vaccinés, chauffés à blanc par des scientifiques et le ministre de la santé Vandenbroucke, voudraient imposer en Belgique par tous les moyens, m’ont fait sentir que je devais y aller, encore une fois.
Le gros des arguments pour le passe et la vaccination obligatoire n’est ni scientifique ni sanitaire. Or, on nous le vend comme une parole d’évangile d’Hippocrate en personne.
Vacciné par deux fois, donc insoupçonnable de complotisme, je trouve que l’on en fait trop. Les autorités ânonnent ce qu’elles reprennent des revues scientifiques… et comme ces revues changent d’avis tous les quinze jours…
Les voix entendues sortent du cantique des cantiques d’un seul bonhomme associé à une élite médicale qui sait tout à l’avance. Le reste est formé du chœur des docteurs doctorants, un peu lobbyistes, un peu « M’as-tu-vu » découvrant le plaisir de paraître à la télé en docteur Cymes.
Leurs travaux sur la pandémie et ses conséquences, les traitements et l’efficacité « prouvée » des vaccins feront encore rire les infectiologues dans cent ans.
Et sans preuve, sans rien, même pas le décompte honnête des hospitalisés et des morts terrassés par une variante ou un méchant courant d’air, les « pour » avalent tout argent comptant. Frank Vandenbroucke qui pleure à la télé fanatise les conquis.
Qu’est-ce que la liberté sans la conscience du devoir ? C’est se replonger dans Kant qui nous rappelle que l’homme est une fin en soi pleinement responsable de ses actes, un être que l’on doit servir mais dont on ne peut se servir. Kant faisait déjà de l’anti G-L Bouchez sans le savoir et plaidait à l’avance contre l’anathème de la pensée officielle lancée par le ministre de la santé menaçant les résistants à la vaccination d’exclusion sociale et de congé sans solde.
Le refus d’obéissance aux ordres par rapport à leur incohérence remet en mémoire la dignité d’une résistance bien au-dessus d’une adhésion sans conviction, prétexte suffisant pour désigner du doigt les récalcitrants et exiger leur mise à l’index.

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Le citoyen vacciné est considéré comme un agent efficace pour atteindre une immunité collective censée protéger ceux qui développeraient le cas échéant la maladie. L’immunité collective n’est-elle pas décrite comme un fantasme par de nombreux scientifiques éminents ? Le nombre de vaccinés pour y atteindre a changé quelquefois. Comme 90 % étaient difficilement atteignables, on est descendu d’un coup à 60 %. Aussitôt publié et comme la vaccination allait bon train, on s’est mis à parler de 75 %, à seule fin d’inciter ceux qui auraient pu imaginer qu’à 60 %, on pouvait éviter la piqûre.
On n’en sait rien, finalement. Et pour cause un virus ARN mute. La stratégie sanitaire qui faisait du vaccin le bon outil préventif était fausse dans la mesure ou un virus peut en cacher un autre et ainsi de suite.
C’est ainsi que la pandémie peut brusquement disparaître ou se renforcer et personne ne saurait dire dans quel sens nous allons. Plusieurs clusters dans des maisons de retraite, dans des bateaux de croisières, dans des discothèques ou dans des « party » clandestines faisaient état de contamination possible entre personnes vaccinées !
Depuis l’expérience du Massachusetts aux États-Unis, il est établi que les vaccins n’empêchent pas la transmission et l’infection chez les vaccinés. Le CDC américain publie début aout une alerte demandant de rétablir le port du masque y compris pour les personnes vaccinées.
Et si l’immunité collective tant revendiquée par les politiques qui en ont fait toute leur doctrine, y compris par la menace et les contraventions, était une aberration inventée par les scientifiques et les politiques pour nous faire vacciner ?
Or, l’efficacité des vaccins repose sur cette hypothèse improuvable pour le moment servant à « casser » la progression de l’épidémie. Les autorités méconnaissent au passage, comme Bouchez mouche du coche Belgique, qu’ils portent atteintes aux libertés fondamentales à cause du contexte épidémique, alors que la réalité prête autant aux doutes qu’à l’efficacité des vaccins. Ils ont tout simplement omis dans leur réflexion de considérer le problème de la dignité humaine, qui elle, est intangible et ne saurait dépendre d’un quelconque contexte.
On savait depuis longtemps que les Autorités n’en ont plus rien à faire de la démocratie. On ne savait pas que c’était à ce point.

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