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DOCTEUR FOLAMOUR bis !

Un chef tchétchène gonflé à bloc propose à Vladimir Poutine d’utiliser des armes nucléaires « légères ». Si son zèle est diffusé sur des gazettes du Régime, c’est qu’en Haut Lieu, on aime faire courir ce bruit pour effrayer l’adversaire.
De la menace à l’utilisation, il y a de la marge. Qu’importe que déjà on en parle procède d’un état d’esprit schizophrénique.
Car enfin, un esprit sain peut comprendre que c’est le genre d’arme que la folie humaine a construite et qui ne sert à rien, si le camp d’en face en a autant à balancer !
Sinon que ce morceau de stupidité matamoresque appartient à un système de pensée d’un type qui veut se suicider de façon grandiose. Encore que s’il ne reste plus personne pour en parler, à quoi bon en faire les frais ?
Seulement voilà, les dictateurs ne raisonnent pas comme tout le monde. Sans conteste, à la façon, dont des militaires ouvrent des portes du Kremlin devant lui, assurément Poutine en est un !
Le danger, c’est bientôt tout ce qu’il restera en ferrailles défensives comme moyens pour résister à l’assaut de l’armée ukrainienne, tant l’expédition « spéciale » russe tourne au fiasco.
On a déjà vu les meilleures résolutions tourner au désastre… les responsables avaient perdu tout sens commun.
Qu’appelle-t-on bombe nucléaire tactique ?
Sinon des engins de petite puissance capables malgré tout d’irradier et de détruire un espace de la valeur d’une grand-place d’une Ville comme Bruxelles.
Avec des vents qui dispersent le souffle de la bombe, il convient de bien étudier les courants de crainte de se retrouver comme en 14 avec les gaz moutardes, l’arroseur arrosé.
On peut ainsi épiloguer sur les nuisances et en trouver de toute nature. Par exemple, un terrain irradié ne peut se conquérir sur le champ et bloque donc toute avancée militaire. Provoquée par le renom dévastateur de la chose, on peut imaginer l’armée ukrainienne qui ne demande pas son reste et quitte la zone irradiée.

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Tchernobyl est encore un endroit non fréquentable pour quelques temps, malgré un paquet d’années du début de la surchauffe de l’uranium qui a pété.
Dans le camp d’en face, l’OTAN joue des mécaniques et fait aussi savoir que son arsenal dans la petite dimension tactique est bien fourni.
L’OTAN a sur Poutine l’avantage de l’expérience. Ses promoteurs n’ont-ils pas effacé de la carte deux villes japonaises en 45, se plaçant ainsi en tête des assassins patentés ayant acquis du « métier » sur le tas ?
C’est ce qu’a laissé entendre un autre loustic que celui du Kremlin le secrétaire général de l'Otan, Jens Stoltenberg, lors d'une conférence de presse. Évidemment, ce n’est pas Jens qui pousserait sur le bouton. Il n’est pas payé pour ça. Lui, n’est là que pour jouer les paravents derrière lesquels l’Armée américaine a un général portant la petite mallette des chiffres du code spécial, au garde-à-vous dans le bureau ovale, tandis que devant le président, on a disposé pour la frime, le fameux bouton rouge.
Voltigeur en duo avec Stoltenberg, Volodymyr Zelensky est chargé de lever le drapeau rouge aux avants postes, afin de prévenir officiellement qui de droit qu’un général russe, sans doute ivre, en a lâché une bien vitrifiante sur un supermarché. En réalité, lui aussi fait de la figuration. L’Armée US a ses hommes de l’ombre, encore mieux placés que l’Ukrainien pour prévenir le Haut Lieu américain.
On chuchote même que certains reviennent tout humides des plongées dans la mer Baltique, après d’autres missions spéciales qui concernent les gazoducs avec lesquels Vladimir Poutine se fait quelques euros d’argent de poche. Mais chut, cela reste dans les spéculations malveillantes et pour ainsi dire populistes, qui vous valent d’avoir la vieille Anastasie sur le dos.
Un être sain et raisonnable pourrait se dire à la lecture de ce qui précède, mais dans quel monde vivons-nous ?
Mais c’est le nôtre et ce sont des types à peu près membrés comme tout un chacun qui ont eu une jeunesse peuplée de Bonhommets et Tilapins, de la communale à l’université, mariés même, et des bambins à faire sauter sur leurs genoux, qui à la tête d’États nucléaires ne savent plus que faire des neutrons, bien rangés sous leurs coupoles d’acier !
On s’étonne, qu’éduqués, compris et adulés des foules, ils en arrivent à proférer des imbécillités grosses comme la bombe d’Hiroshima ! Aux alentours de ces hauts personnages qui commandent aux guerres, un docteur Folamour flotte dans l’atmosphère de tous les états-majors…

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