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Quand Richard répond au courriel.

On reçoit pas mal de courriel quand on est un petit peu connu.
Depuis 15 jours une série de « hi » cache en réalité des nids de frelons pour détraquer mes puces savantes.
Ce qu’on peut mépriser sur écran ! Comme on bave facile sur le NET !…
Les extrémistes de tout bord s’en donnent à cœur joie !
Ça les possède, le courriel au choléra !... l’écriture au charbon… les militants à jaquette et les CAC 40 de Wall Street… comme la guerre, comme le sexe, comme les ayatollah pour une fois d’accord avec les rabbins… C’est un bonheur pour ces frustrés, ce défoulement… Je leur procure des joies mauvaises… A ces impuissants le fiel tient lieu de sperme, normal…
Ça éjacule dans les gros désirs. Au spasme suprême, c’est comme si leurs déroutes noyaient mon écran d’un pot de yaourt… Récoltée la graine, je vois d’ici la collection d’avortons qui sortirait des éprouvettes. Cette banque du sperme d’un nouveau genre foutrait les jetons à Quasimodo !...
Ils s’en branlent dans leur lit à s’en faire des durillons au prépuce, de ma gueule… qu’on va l’envoyer sur les roses le Richard, cette fine raclure. Le vrai raout libéral imparable qui va tout prouver et lui rabattre le caquet est comme qui dirait parti… Trop de grossières erreurs sur l’altruisme du patronat, la haute moralité des instances bourgeoises, les patronymes erronés des idoles… ce roi de mes deux, peut plus exercer son terrorisme d’enfoiré… eux qui sont si fiers, si douceur de vivre, baignés qu’ils sont de culture atlantique classe moyenne… que des paysans bourrus de mon espèce peuvent pas connaître… est pas Sapiens Sapiens qui veut !
Ils m’empalent de mon sceptre royal, ces tantes…. l’image forte les fait jouir.
Pour certains, voilà quinze jours qu’ils s’astiquaient le poireau avec la rage qui leur venait que c’était de ma faute leur panne sèche… que depuis qu’ils avaient cliqué par hasard sur mon blog, ils en étaient certains, leurs couilles étaient devenues des vesses-de-loup.
N’allez pas croire que je me suis inspiré de ces glandeurs pour torcher une réponse.
Non. Eux, c’est le genre « Salaup de Richard, apprand à cauzé sans fôte dortograffe avant de chiez sur le capital ».
On voit tout de suite le mec distingué, nuancé, cultivé et qui sait tout de même que capital prend pas « qu » ou « k ».

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Faut du texte à ces jeunots, pour qu’on s’emmerde pas dans la réplique… qu’ils améliorent leurs prestations avant le retour en famille… au claque sur « les Floches » (1)
J’ai un côté donneur de leçons qui m’exaspère moi-même. Pour eux, c’est juste pile poil.
Les minets ont besoin d’exemples. Ça torcherait impecc de la rhétorique, si au lieu de suivre l’évolution de la Banque-Assurance, ça s’intéressait à des genres relevés… des styles, des manières : Flaubert, Saint-Simon, des cracks qui broutent pas de la pelouse transgénique… On pourrait causer sans tirer la chasse…
Je vais les servir. Ainsi la prochaine merde anonyme sera peut-être plus drôle, qu’on se fende la gueule ensemble… ce n’est pas si souvent.
Je lance un concours : Je mets la photo de mon cul sur le blog en prix de la plus belle fiente… Çui qui marquera 2004 de son étron magique sera récompensé… promis.
Les tordus de la comprenette, les blasphémateurs, les enculés occasionnels, les bouchonnés du cidre maison, à vos plumes… Je publierai les meilleurs…
Quant aux petits génies qui se foutent de tout, sauf de passer pour des cons dans l’électronique, les faisandés natures qui dès qu’ils touchent une souris, le plastic pustule…. la grippe du poulet de la main gauche, l’engeance… des débiles qu’ont le tablier qui se soulève dans le bizarre, qui bandent plus que dans les poubelles sur les vieux clips de Madonna, je leur dis qu’en haine gratuite, tu finis par tomber sur un mec plus fort...
Ces fouteurs de merde sont tellement cons qu’après avoir fait le tour du monde où c’est-y qu’elle retombera leur grippe du poulet ? Mais dans leur assiette, mes cons… arrangées à une sauce piquante, qu’ont pas les moyens de digérer… Alors l’ulcère des ordis leur pètera dans la gueule et ce sera justice. On peut pas plaire à tout le monde, sans se plaire à soi-même… hein !... les débridés.
Les plus vicelards sont assurément les gars qu’ont la fibre extrême droite. Pas qu’ils soient plus mariolles… le trou dans le citron rempli de vices, c’est comme chez Bouglione, faut pas tourner le dos à la panthère… à droite, comme ils se torchent jamais, la moindre de leur morsure gangrène… Normal. T’as déjà respiré l’haleine d’une Hyène ? Qu’est-ce que ça doit grouiller à l’intérieur !... l’attroupement de tous les béribéris de la planète, les fièvres… jaune, bleue, multicolore, la peste nosocomiale de dix hostos, ébola au prodige ….
Je les vois les adorateurs du pèze, comme ça les possède l’amour du pognon !... Ils en veulent tellement qu’un moment ils sont en manque quand même, la preuve comme ils détroussent encore à 60 ans les petits porteurs… allez, rouler jeunesse… au Viagra les hardis… ils s’en poignent l’oignon, détroussent, recèlent, le gland à sec… Et brefs avec leurs gagneuses… les rognons qui phagocytent… tandis que dans l’ombre des petits guichets, leurs putes en col blanc s’emploient à la bassesse dans des courriels au sieur Richard...

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Je regrette pour ceux que ça intéressent encore, mais je lis plus rien… les ultimatums sanglants des Ducon, meurent dans les systèmes… prévenu je suis : « attention ouvre pas, c’est un bubon. ». Faut croire Bill Gates, parfois.
Au début, je m’affligeais. C’est touchant un internaute qui n’est pas nécessairement de mon avis. On s’explique à la loyale.
Mais voilà, les plus ratiocinants imbéciles couvrent de leurs cris ce qui dépasse leur hystérie.... A droite, on plaisante pas sur le feu sacré qui fait bouillir les marmites des beaux quartiers cannibales.
Alors, ils bouchent les waters des affiches du Front et plus personne peut chier juste… Faut comprendre, c’est Freud qui le dit, un avide qui lâche, ça sent pas la rose, peut-être qu’il s’est retenu des mois… la corde à nœuds au calvaire… qu’un texte écrit avec des hémorroïdes, ça fait des pâtés de merde et de sang… qu’on s’y retrouve plus.
Pour ces bandeurs-à-vide, je blasphème en parlant des banques, des culs bénis des partis qui en croquent, qui le prennent de haut, qui sont bien pareils aux autres…
En cure à Vichy, les malades, qu’on les voie pousser, des fois qu’ils seraient plus présentables après la remontée des fistules…
De quoi, qu’ils disent, cet étron qui se veut royal critique le capitalisme bourgeois !!!
Ils s’en retournent les lingots… que ça n’est pas possible un si grossier détracteur… Ils m’imaginent dans des fins horribles, le pénis à l’élévation, au blasphème, j’injurie Dieu… je finis lapidé place Sainte Véronique devant la vraie gauche, celle qu’a compris que le mouvement « ouverier » c’est foutu… qu’on va canaliser l’énergie autrement… pousser la gondole d’allée, tête de rang au super… marier la banque et le travail… que les harengs de la FGTB s’en remettent un peu dans les fouilles. La bien dirigeante compagnie des frères de la capote fourrée, de la bagnole en leasing pour toute la place Saint-Paul, nom de Dieu, qu’avant d’être mondial, on pisse du fric sans se flétrir la fleur…
Eh bien ! mes chacals, non… comptez pas sur moi pour sucer le maquereau qu’exploite les nègres, blancs noirs, frère des rigoles…
Allez vous faire foutre !...
Encore un détail, je vous emmerde.
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1. Les Floches, les taxis des années cinquante appelaient ainsi la rue Sur-les-Foulons où les militantes au bonheur ont fait des passes jusque fin des années septante.

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