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La fonction crée l’orgasme.

Est-ce normal de vouloir faire président de la république ?
On a entendu Hollande prétendre que jeune, c’était déjà ce qu’il voulait faire.
N’est normal que celui qui se sent normal !
Tous ceux qui se sont vu président distinguent le pathologique du normal. Sûr, ils disent tous qu’ils sont normaux, mais les proches, sont-ils convaincus ?
Il paraît que Bill Clinton l’a toujours su, comme Hollande, même avant Monika !
On se demande si Ségolène et Hillary ont de grands souvenirs de leur vie sexuelle avec leur président de mari ?
Valérie Trierweiler en remerciant Hollande « pour ce moment » semble contester l’endurance de son champion. Un moment, c’est plutôt bref… Hollande serait-il furtif ?
La pathologie est un sentiment de diminution. Ont-elles, stricto sensu, pressenti chez leur partenaire une quelconque pénurie ?
Si selon Berdiaff « La source de l’extase créatrice est incluse dans l’énergie sexuelle » les présidents devraient être des bêtes de sexe. À moins que leur règne ait été un songe creux et du temps perdu. Et si Hollande n’avait pas été authentiquement génial et qu’il ait été nul aussi en érotisme, c’est-à-dire pas à la hauteur de la fonction présidentielle ?
Être président, c’est d’abord un fort désir de l’être. On ne peut pas désirer cette seule fonction, quand on sait ce qu’un président – qui n’en est pas moins homme – a entre les jambes. Même De Gaulle avec tante Yvonne…
Le cirque fait autour des onze candidats est absolument hallucinant. Seuls Nathalie Arthaud et Philippe Poutou ne sont pas nés en pensant qu’ils allaient être présidents. Nathalie est formelle : elle veut qu’on parle de Lutte ouvrière et tous les moyens sont bons pour y parvenir, y compris faire croire qu’on voudrait être président de la république, alors qu’on n’a pas cette pathologie à gérer !
Oui. Mais qui nous dit que cette idée ne pourrait pas lui venir en chemin ? Ce n’est pas parce qu’on milite à Lutte ouvrière et qu’on a fait le serment de se consacrer entièrement au parti, qu’on ne peut pas un jour avoir le feu au derrière et brûler d’un désir contraire aux règles marxistes ? Arlette, on peut comprendre… mais Nathalie, elle n’est pas mal du tout. Notez, qu’elle devrait se décider assez vite. La politique, ça laisse des traces, des rides, des angoisses. Raffarin, par exemple, à pas encore cinquante ans, il n’était déjà plus regardable.
Quant à Philippe Poutou, c’est sûr, c’est un rigolo. Un candidat président ne doit pas se présenter en riant. L’attitude modeste fait perdre des voix. On dirait qu’il s’excuse d’exister. Son apparence n’est pas « marxiste ».
Par contre le genre bourreau triste, qu’a adopté François Fillon suite à ses affaires de placements familiaux et de vestiaires chics, plaît à la droite française.

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L’art d’étrangler les classes inférieures sans les faire crier tient dans la courtoisie à le faire. C’est comme le médecin qui prévient « attention, je vais vous faire mal », mais on ne dit rien parce qu’on sait que c’est pour notre bien. La droite française le sait. Heureusement qu’elle sait aussi que ça va faire mal seulement aux autres… sans quoi les électeurs de droite eux-mêmes la fuiraient !
Un président triste comme Fillon doit avoir la foi. Sans quoi, c’est de la neurasthénie ! Malgré quatre enfants, on n’imagine pas Fillon faire l’amour à Pénélope ! C’est la religion qui empêche de voir le sexe des Saints, et ce depuis le drapé « Michel Ange ». Je me suis toujours demandé comment un chrétien parvenait à faire des enfants sans jouir ? Il a bien fallu quand même à un certain moment ? Même si on fait des neuvaines après pour se faire pardonner par le Très Haut, ce moment d’égarement doit bien exister dans la physiologie du croyant ! Bien possible que Fillon, avec ses mensonges et ses dissimulations, aime non seulement l’argent, mais doit baiser à fesses rabattues. C’est un dissimulé !... et puis les cernes de Pénélope…
Des couples dans lesquels un des deux a toujours voulu faire président, c’est le couple Macron-Trogneux qui paraît le plus normalement apte : présidence, séance de lit, empoignade fiévreuse, baiser volé devant tout le monde. C’est à tel point, qu’on se demande si l’élu de ces deux là ne va pas oublier qu’il est président dès l’instant où il aura envie de… ?
On voit la scène « Monsieur le président, une attaque des djihadistes syriens est imminente au Nord d’Alep, nous devrions faire un raid de Rafale ». Le président distrait par des pensées intimes : « Je reviens dans un quart d’heure. Je monte à l’appartement, une urgence ! ».
Quant à marine Le Pen, il ne faut pas être un fin psychanalyste pour comprendre que ce n’est pas demain la veille qu’elle fera l’amour à la missionnaire. En ce sens, elle est comme Dupont-Aignan « Debout la France » !
Reste Mélenchon, moine-soldat pour la France ? Grand masturbateur comme Dali ? Peut-être est-il le seul qui fasse l’amour avec Marianne et, en grand intellectuel, capable d’éjaculation par la seule force de la pensée ?

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