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Annie Lebrun, 25 ans !

Que m’arrive-t-il ?
Je ne les supporte plus !
C’est une allergie qui me vient. Ils sont mon infection !
Le Parti Socialiste joue un peu le rôle de Bethsabée, épouse d’un soldat hittite, cocufié par David. La Belle finira par engendrer Salomon, le fils de David, après avoir perdu l’enfant qu’elle portait du troufion.
Ils auront beau faire, le PS et les autres, c’est la famille buse de poêle.
Ils ont tellement l’habitude du vaudeville : le mari, la femme, l’amant, qu’ils ne peuvent concevoir que des parties triangulaires. La famille Bi est transitoire de Tri.
L’étrangeté du désir animal de cocufier Elio avec Philippe, Benoît est en train d’en voir les limites… À force de jalouser Elio presque nu dans la piscine montoise, Benoît est devenu hydrocèle… allez comprendre !
Voilà le CDH qui s’accroche en Wallonie, alors qu’à Bruxelles il n’est nulle part. Benoît réussit le tour de force d’imaginer un acte supplémentaire au Chapeau de paille d’Italie d’Eugène Labiche.
On quitte la bible pour le théâtre de boulevard.
Lutgen, acte VI : « Fadinard remet le chapeau à Anaïs. Le mari est confus, il s'en veut d'avoir soupçonné sa femme. Fadinard libère la noce, tout le monde peut enfin aller se coucher. » Sauf que Lutgen au lit fait des insomnies, il rêve d’un beau jeune homme venu jadis de Charleroi pour séparer Michel junior de Reynders l’apostat, c’est Chastel dit Châtel par les puristes. Ils font l’amour devant Elio heureux de n’être plus seul sous la couette. Il se réveille et se trouve au lit avec Borsu, légèrement éméché sortant de sa voiture.
Elio qui connaît les bons usages des maisons closes, leur apporte la petite cuvette d’eau tiède, le gant de toilette et le savon antiseptique. Puis il part sur la pointe des pieds surveiller par l’œilleton de service que le couple ne s’essuie pas le derrière sur les tentures.
Lutgen se réveille en sursaut. Le public applaudit, c’est le public du prix fort pour Lucchini qui lit du Céline. C’est dire l’indulgence.
Les hipsters fêtent le grand retour en Région d’un MR, flamingantisé au Fédéral et pogonophore en Wallonie, avec les bons pères de Manage, deux ont été repérés à Marche-en-Famenne. Comme quoi, en politique, on est renégat et concussionnaire, en alternance.
Pour ces trois phénomènes, l’opposition n’a que le temps de changer les draps dans l’hôtel de passe réglementaire. On refait l’amour avec celui qui occupe l’oreiller à côté.
Ce trio, quand il est uni dédaigne les autres : Défi, Écolo, PTB.
Séparés, se sont des simulies qui volent indifféremment de la merde au sang.

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Le CDH est unique en son genre. Voilà un parti minuscule, le plus petit du trio et c’est lui qui minaude et explore la braguette des deux autres, pour aller au vit le plus vigoureux.
Est-ce que Benoît ne serait pas un peu pute, par hasard… proctologue et catéchumène ?
Les fâcheries du couple tricéphale sont toujours difficiles à diagnostiquer. On croit qu’ils s’engueulent, sous la nappe ils se caressent le chtibre.
Les deux ont quand même deux ans pour reparler à l’autre.
À moins qu’une bonne turlute collective ne réconcilie tout le monde plus vite qu’espérée ?
En tant que public, déçu par le VIme acte, leurs étreintes me dégoutent. Je ne veux plus en entendre parler. Ces punais atteints d’ozène puent seulement du nez, attendez qu’ils aient baissé leurs frocs pour que ça devienne franchement nidoreux.
Je prends plus de plaisir à voir un documentaire d’Arte sur la transhumance des grandes tortues à la ponte des œufs sur certains rivages, que les ébats répugnants de ces snowflakes en pleine fruition.
Tiens, la dernière de Sudpresse, l’épisode de Bodart en quérulence nerveuse (réservé en lecture payante) est plus intéressant en concentré épique, que le trio balanite surpris en manspreading de l’actu.
Il claque le beignet comme personne, le Bodart. Il a l’alopécie virile.
Quant à moi, le seul motif qui m’ait poussé à écrire ce blog, c’est le dépit de n’avoir pas connu Annie Lebrun, quand elle n’avait que 25 ans, en 1967.

Commentaires

Les érudits tels que vous, comprendront peut-être votre message, quoi que c'est tellement compliqué..
En tout cas, moi, je vous avoue humblement ne pas avoir compris grand chose après l'avoir relu deux fois. Mais bon, je suis très peu instruit et avec ce genre de texte, je "pédale dans la semoule".Bonne continuation quand même mon cher Duc

Pardonnez-moi cher ami.
C'est une crise d'atticisme ou si vous préférez de snobisme.
Ma seule excuse a été d'écrire des choses horribles de manière
détournée pour exprimer mon dégout des gens que je déteste.
À votre saine réaction, je crois bien que c'est raté.

Votre dégoût pour des gens que vous détester, j'avais compris, vous êtes pardonné mon cher Duc.

C'est pas mauvais, c'est très mauvais, amphigourique et plus que vulgaire. Ceci dit, j'aimerais quand même que tu ne mêles pas Proxi-Liège à tes turpitudes..c'est pas très amical du tout du tout...

Moi, je m'en fous, je viens seulement pour la playmate ... et celle d'aujourd'hui est particulièrement inspirante. Si c'est Bethsabée, je veux bien être David...sauf si c'est Richard III le Hittite! Les amis, c'est sacré... :)

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