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On sait tout de vous…

Les libéraux du mouvement réformateur ne réforment pas leurs vieux chevaux de trait. Certains font une dernière carrière à l’Europe, avant de se retirer, dans les douceurs d’une retraite du genre « plus mon petit Liré que le mont Palatin » (Regrets 1558).
GLB fait plutôt dans la prétérition à propos de l’Amérique, il semble ignorer que le pays des « belle combinazioni” d’Al Capone, nous entraîne à l’abîme.
L’amour de l’amerloque mal caché est indécent. On devrait informer GLB : la vieille garde qui connut Louis et Didier deuxièmes couteaux chez Jean Gol, en a appris de belles sur les USA, de la Silicon Valley au "Trump National Golf Club" West Palm Beach, Floride.
La CIA connaît jusqu’à la couleur du caleçon de Georges-Louis et la date des dernières migraines de Sophie Wilmès.
En 2018, Mme Meng Wanzhou, directrice financière de Huawei et fille de son fondateur, a été inculpée à Vancouver (Canada) de violation des sanctions américaines à l’encontre de l’Iran et d’autres pays. Washington réclame son extradition. Quinze mois plus tard, elle est toujours retenue au Canada. Mais c’est surtout que la CIA soupçonne la Chinoise d’être la cheffe d’un réseau concurrent plus performant et qui serait capable de multiplier les renseignements les plus intimes des sept milliards d’habitants de la planète.
Au cours de l’année 2019, de hauts responsables américains ont fait pression sur des dizaines d’États étrangers afin de les dissuader d’acheter les matériels de Huawei pour équiper leurs systèmes de télécommunication. Vous connaissez la combine devant laquelle tout le monde se couche, vous avez fait des affaires en Dollars, vous tombez sous les lois américaines à vie !
Ayant abandonné leur leadership en matière de technologies réseaux, les États-Unis ont perdu l’accès à ces systèmes. Les américanolâtres ne le savent pas encore, mais l’idole américaine de la bourgeoisie belge laisse à Huawei, peu à peu, la surveillance des selles du matin de Ducarme, jusqu’au dernier dépôt dans la banque la plus proche, de Di Rupo, tout cela parfaitement su des intéressés, sans qu’aucun ne moufte !
Évidemment, la CIA n’expliquera pas en quoi le groupe Huawei constitue une menace pour la sécurité des réseaux de télécommunication mondiaux. Et pour cause, s’ils entraient un tant soit peu dans les détails, ils risqueraient de montrer des trucs et des machins de leurs propres espions. Ils préfèrent rester dans des généralités : la Chine cherche à pénétrer « nos » systèmes de télécommunication, avec des intentions malveillantes, un point c’est tout !

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Les États-Unis ont abandonné leur leadership dans la mise en place des technologies réseaux de nouvelle génération, depuis que le système chinois s’est avéré meilleur. Monsieur Xi est en train de baiser tout le monde.
Du temps de Bush junior, les bourgeois du MR étaient au plus fort de leur dévotion du dollars. L’Amérique surveillait les États, les entreprises et les personnes de toute la planète, sans concurrent. Par eux, les bourgeois belges connaissaient les « fortes têtes » de la gauche et de l’extrême droite. Ils apprenaient, avant les intéressés, les revendications et les plans d’action de l’opposition. C’est sans doute pourquoi les militaires belges ne pouvaient acheter leurs joujoux ailleurs qu’en Amérique, chez Lockheed. Encore aujourd’hui toutes les preuves de cette vassalité existent. Les gens qui ont faussé les rapports et ceux qui les ont commandé occupent des postes importants…Si ça se trouve, certains donnent des conseils sur les masques, attendant le vaccin « américain » et pas un autre, comme les avions.
Avec Tonton américain l’activité d’espionnage s’effectuait via les grandes compagnies téléphoniques nationales, toutes plus ou moins dédommagées en dollars. Dès 1970, la CIA avait la maîtrise du service de renseignement allemand, le Bundesnachrichtendienst (BND), du cryptage truqué, à la vue plongeante jusqu’aux WC, l’Europe était comme un poisson rouge dans un bocal sur le bureau du président US. A l’époque, Motorella était la première succursale de la CIA, avec Siemens et un industriel suisse Crypto AG.
Plus de cent pays ont installé ce matériel, croyant se protéger contre les intrus. Or c’était le contraire ! La Central Intelligence Agency (CIA) et la National Security Agency (NSA) ont poursuivi l’analyse des eaux de bidet de l’Europe jusqu’en 2018.
Puis, l’espionnage a changé de forme avec Internet et les nouvelles techniques de cryptage. Il implique en 2020 les compagnies du marché mondial des appareils, services et applications numériques, ainsi que les fournisseurs de réseaux, qui gèrent les câbles sous-marins.
Que les pleureuses du MR sortent leur mouchoir, la croissance de l’économie chinoise a été si fulgurante que les géants numériques Alibaba, Tencent, Huawei réalisent l’essentiel de leurs ventes sur le marché mondial et américain, au grand dépit de la CIA. Dorénavant, c’est l’oncle Xi qui vide les tinettes des cinq à sept de toute la planète.

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