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Le MR en grand danger !

En période d’élections communales, le bilan de santé négatif du libéralisme inquiète à l’approche du changement climatique. Nous avons demandé au docteur Sturch-Moll (Sanford Institue et R3.com), son diagnostic sur le MR, en vue d’établir une phylogenèse entre Alexis de Tocqueville et ses arrières descendants spirituels, pour l’élaboration par Richard Miler, d’un tome pour les nuls, dédié à l’économie moderne.
La Schizophrénie nombriliste est un « fractionnement de l’esprit », a dit Sturch-Moll, avec perte de contact de la réalité qui s’observe parmi les membres du MR (réf. R3.com). La pathologie a été observée sur l’ensemble du bureau du parti ou d’un point de vue psychanalytique règne un conflit permanent entre le Moi et la réalité.
C’est une pathologie psychiatrique généralement chronique, qui survient dès le premier mandat électif, difficile à extraire du Moi pour un transfert au Surmoi, quasiment incurable,
Il a été observé chez Didier Reynders une forte augmentation du contentement de soi pouvant aller jusqu’à la crise nerveuse, entre le moment où il décore Nicolas Sarkozy, président français, et celui où ce même président lui remet la Légion d’Honneur, à titre de réciprocité.
Les troubles cognitifs sont souvent les premiers symptômes qui apparaissent chez les mandatés à double personnalité. Dans un premier temps, Charles Michel remercie ceux qui l’ont mandaté, puis il les punit d’avoir été humiliés en sollicitant leurs votes ! Les symptômes annonciateurs débutent dès la première prise de décision. Ce sont ces troubles qui entraînent les difficultés de socialisation chez une personne atteinte.
Le schizophrène prend du temps à répondre aux questions, d’où le syndrome de la langue de bois chez Gérard Miller. Il n’est plus capable de suivre ce qu’on lui dit, dans la concentration constante d’étudier sa réponse qui est en général le contraire d’une option raisonnable.
Quand on place le sujet devant un miroir, il se prend à étudier l’image qu’il a devant lui et perd alors tout contact avec ses interlocuteurs (Olivier Chastel).

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Le schizophrène oublie de faire des tâches de la vie quotidienne, au point que parfois, il ne sait plus qu’il est ministre et pourquoi il est là, exemple Bacquelaine, aggravé d’une sénilité précoce ! C’est alors qu’insidieusement des facteurs secondaires prennent des formes diverses, allant jusqu’à une surprotection de sa famille. Le sujet voit des enveloppes imaginaires, en sollicite dans des endroits où il n’apparaît jamais. Il a de la difficulté à dissocier son métier de médecin généraliste, de son mandat. Sa mémoire autobiographique est affectée. Il oublie des épisodes de son histoire personnelle, ses notes de frais et ses émoluments anciens. Sa mémoire fonctionne difficilement. Il est incapable d’effectuer plusieurs tâches en même temps en oubliant ce qu’il en est dans chacune d’elles.
Les fonctions exécutives de Denis Ducarme sont essentielles en sa qualité de chef de groupe libéral à la Chambre. Tout comportement dirigé, autonome et adapté, comme préparer une réunion, fait surgir chez le malade une fureur rentrée, comme chez Michel il voit des communistes partout.
Le chef de cabinet de Charles Michel écrit ses discours. Si bien que lorsqu’il trébuche sur les mots, ce n’est pas qu’il les cherche, mais il a des difficultés de comprendre ce qu’il lit, dans une sorte d’aphasie. Le schizophrène du type Bourgeois, candidat à l’hôtel de ville de Bruxelles, a de la difficulté à conceptualiser les gestes nécessaires à la réalisation d’une tâche, à anticiper les conséquences, lorsqu’il disjoncte ses gestes deviennent familiers et ses mains par effets nerveux furètent en quête de rotondités basses. Il manque de flexibilité, de discernement, de vérification, d’autocritique, qualités absentes dont il ne voit pas qu’elles sont avant tout une conséquence de son état préoccupant.
Les hallucinations sont des perturbations des perceptions le plus souvent auditives fréquentes au MR (le schizophrène entend une voix qui fait des commentaires ou profère des insultes, des menaces). Parfois en téléphonant à des patrons de presse, l’hallucination cesse par les assurances de ses interlocuteurs qu’ils vont y remédier.
Le schizophrène s’imagine que la personne qui le regarde dans l’autobus ou qui le croise dans la rue va voter pour lui, alors que le schizophrène est parfaitement inconnu. Il est convaincu d’avoir le pouvoir d’influencer les évènements dans le monde et qu’il contrôle tout, alors qu’il ne contrôle rien. Il fait du populisme sans le savoir en actualisant les textes de Jean Gol.
On l’a bien vu au dernier conseil des ministres, le schizophrène peut dire des phrases sans suite ou incompréhensibles et inventer des mots. Il fait fermer les stores de son ministère par crainte d’être espionné, il collectionne les photos où on le voit recevoir des chefs d’État qui sont tous ses amis et à qui il aimerait déclarer la guerre, il met des bouteilles dans sa corbeille à papier et s’enferme dans son cabinet pour lire « On a marché sur la lune » d’Hergé.
Chez Louis Michel, père du premier ministre, les symptômes déficitaires héréditaires s’observent par un manque ou une absence de comportements spontanés, rédhibitoire à l’éloignement des affaires. Il perd plaisir à ses activités de golfeur. Il se déguise en pow-wow pour faire des prophéties dans les radios Il délaisse ses amis, s’isole, menace de s’inscrire à Defi, devient irritable, si on tente de l’approcher. Il se coupe de la réalité.
Enfin saisi d’alogie, il ne trouve plus ses mots, donne des réponses brèves et évasives et ne réussit plus à communiquer ses idées ou ses émotions.
Bref, le parti est en danger. Que l’économie parte à vau-l’eau et le voilà emporté par la première vaguelette !

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