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Absolument amoureux !

Le guignol, c’est comme le théâtre. Quand les enfants-citoyens sont assis devant le castelet et que le rideau glisse sur sa tringle, Guignol rosse le gendarme pendant toute la représentation sans faiblir et sans entracte.
Ici, c’est Pascale Peraïta qui remplace le gendarme et qui ne veut pas se laisser rosser.
Décidément, ce PS de madame Onkelinx ! Déjà, bien avant que les Loges ne désignent Yvan Mayeur au poste de bourgmestre de la ville, Yvan et Pascale fricotaient déjà ensemble. En témoigne cet article pas si vieux que cela, mais dont apparemment Laurette Onkelinx ne se souvient pas.
« Pascale Peraïta fait donc à nouveau parler d’elle alors qu’une polémique emporte déjà celle qui est pressentie pour devenir la future présidente du CPAS de la Ville de Bruxelles en lieu et place d’Yvan Mayeur (PS), qui, lui, sera le nouveau bourgmestre vers la mi-décembre. On le sait : Pascale Peraïta est une proche d’Yvan Mayeur qui la soutient en vue de sa prochaine nomination au centre public d’action sociale. Même lorsque, voici quelques jours, nos confrères de La Libre révélaient le salaire de Pascale Peraïta, en charge rappelons-le de l’aide aux SDF : 192.000 euros bruts par an dont 30.000 euros de primes. « Ici, les 190.000 euros dont on parle englobent le coût patronal et on omet de dire qu’il y a aussi des cotisations perçues sur les primes », avait rétorqué le clan Mayeur. » Pour faire court, la belle Pascale occupait à Saint-Gilles déjà un logis social, certes dont elle acquittait le loyer, mais quand même sans passer par les critères sociaux et financiers, avec le bon salaire qu’elle avait obtenu ! On est sur le cul.
Aujourd’hui, Pascale Peraïta refuse d'être entendue sur l’affaire du Samusocial «Se soustraire à une commission d'enquête est un manquement grave», s’indique Onkelinx. Et on est reparti pour un tour.
L’indignée de Lasne (les week-ends) rétorque, le Code de son mari à la main : « Personne ne peut se soustraire à une commission d’enquête. Le faire constitue une double faute. S’opposer à ce pouvoir des parlements est un manquement grave qui nuit aux intérêts de la démocratie. »
C’est vrai à la fin, qu’avait-elle besoin de se faire prendre, Pascale ? Elle devait bien savoir qu’un tour de passe-passe surprend et on applaudit, mais un tour de passe-passe qu’on refait tous les mois, c’est trop, même pour un parti socialiste qui en a bien vu d’autres et de bien plus gratinées.
L’ex-présidente du CPAS de la Ville de Bruxelles Pascale Peraïta, refuse de se laisser rosser par la commission d’enquête sur le Samusocial, madame Onkelinx en suffoque d’indignation, ses pommettes en rosissent, son geste accusateur se raidit... C’est beau une femme en colère !
Pendant les crises, se sont les écarts qui se creusent et les malins qui en profitent, pensent Benoît Lutgen en consultation permanente avec tout le monde, sauf le PS.

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Au point où on en est, l’état de corruption de tous les partis politique est tel, qu’il ne reste plus au citoyen que l’admiration des postures.
Et si la belle Pascale et le rude Yvan avaient tout simplement succombé à l’amour tout court, plutôt qu’à celui de l’argent, même s’il est venu après, pour agrémenter la chose ?
C’est quand même moins dégueulasse de piquer dans la caisse « ensemble » en riant sous cape, puis en se couchant sur le bureau d’aide sociale dans les baisers et les caresses.
Tous les avocats le diront, plaider les amants infernaux, c’est mille fois plus marioles que se placer un loup sur le nez avant de sauter une clôture, de fracturer une vitre, plus de voler « salement » quelques misérables objets qui ne feront pas 20 € aux puces !
Tant qu’à faire, honneur perdu pour honneur perdu, autant que ce soit pour une partie de fesses qui ne fera de mal qu’aux cocus.
Un animal politique, ça vole, mais ça baise aussi, hein, gaillards et gaillardes de la confrérie des mandatés !
À certains moments pour aller jusqu’au stade ultime de mes réflexions, je me mets dans la peau d’une femme et je considère ce haut personnel sous un angle amoureux. Sans être LGBT, à voir Charles, Didier, Denis, Laurette, Gwendoline, Elio, Armand, Olivier et les autres, réunis dans un rallye du sexe sur l’aire de repos de Spy, par exemple, sans char, j’en vois plus d’un et plus d’une qui feraient jouir une poupée gonflable.

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