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Tous piqués !

Ah ! on est bon !
Voilà plus de deux ans qu’un virus se balade dans le monde sans que l’on sache vraiment si c’est le hasard qui fit la transmission de l’animal à l’homme ou si c’est une erreur humaine dans les processus de sécurité d’un laboratoire hautement sécurisé chinois !
On a bien lancé quelques fins limiers sur la piste, en vain. Xi Jinping fait obstruction.
Le monde entier est au courant qu’au moins trois pays manipulent des virus pour en faire des petits soldats en temps de guerre. Ces dangereux États, USA, Chine, Russie, sont prêts à jurer qu’il n’en est rien, comme Landru jura qu’il n’avait jamais utilisé sa cuisinière à charbon pour consumer ses conquêtes. Il se pourrait que d’autres apprentis sorciers existassent, telle la Corée du Nord. Son patron est capable de tout.
Cela fait plus de deux ans que les gens perdent la boule et les dirigeants leur sang-froid. Cela devrait continuer, sans que l’on puisse déterminer la longueur du tunnel dans lequel nous naviguons à la torche des laboratoires.
Il est vraisemblable que l’infime bestiole ait pris ses aises définitivement. Devenant casanière, elle viendrait nous becqueter comme la grippe à chaque saison froide.
D’ici à ce qu’un savant américain oublie de fermer la porte d’un laboratoire derrière lui, pour qu’un compère de l’omicron se carapate dans nos poumons, à la belle saison, nous aurions l’agenda complet.
Je n’ai jamais compris pourquoi les gens attachent tant de considérations à des professions dont les experts commettent de pareilles fautes.
Vous avez remarqué ? Leurs collègues, chargés d’ouvrir les parapluies en cas de malheur, prennent rarement leur distance des confrères fêlés du chapeau. On se demande si les démons et les anges de ces professons scientifiques, ne sont pas les mêmes personnes, dans une fusion inédite de la perversité et de la bonté !
En sus de ces gens dangereux, il faut compter le pouvoir politique qui navigue à vue sur les conseils de ces dits experts, un œil sur les statistiques, un autre sur les prix Nobel.
Selon les laboratoires Pzifer qui se pourlèchent à l’idée, d’ici l’horizon 2024, la pandémie devrait simplement se transformer en maladie endémique.

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On ne s’est jamais tant bousculé au pinacle des partis pour nous injecter des doses massives d’obéissance civile. C’est toujours au nom d’une grande cause que l’on fait appel soit à nos portemonnaies, soit à notre capacité d’obéissance. C’est au nom de la démocratie et de la solidarité que Vandenbroucke explique à la meute chaque fois qu’il la mène faire pipi dans le square, que nous ne devons plus courir partout, éviter les bars, les restaurants et surtout, voir les gens pendant les réveillons.
Peut-être a-t-il raison cet homme, mais il ignore si à l’ensemble des mesures, il ne fallait pas en ajouter d’autres ou, au contraire, en soustraire ?
Peu importe, c’est tout nouveau pour lui de commander ainsi aux foules. Il doit en éprouver un plaisir fou. Mine de rien, il touche une corde sensible dans une démocratie par délégation, fragile par son système à courroie de transmission. Et si Vandenbroucke et ses pareils n’étaient pas le bon engrenage que fait tourner notre courroie de transmission ?
C’est une première, le système politique n’est plus cet assemblage de partis formant un gouvernement sur un programme de compromis, mais un exécutif qui prend des décisions d’après une source scientifique, externe aux partis de la majorité.
Ce n’est plus une majorité qui s’exprime et commande, mais une source non contrôlée qui propose des mesures à prendre, laissant à l’exécutif le pouvoir de trier et de faire un choix, en notre nom, sans que nous n’y soyons pour rien.
Autrement dit, nous sommes bel et bien à la naissance d’une oligarchie qui se tâte encore. Le pas suivant est clair, il consistera à prendre des décisions unilatérales qui concernent tous les citoyens, comme la vaccination obligatoire au lieu d’être recommandée et vivement souhaitée.
De là à passer des décisions dues à la pandémie, aux décisions économiques sous la double contrainte de l’Europe et de notre Pygmalion, les USA, il n’y a qu’un pas.
Si après ça vous ne voyez toujours pas où on va et que vous ne vous considérez pas comme le dindon de la farce, vous êtes mûr pour une affiliation au MR ou au PS, au choix.

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